C’est l’histoire d’un passionné de football comme beaucoup d’entre vous. Mon rêve était simple : Passer à la télé en jouant au football … Devenir professionnel.
Mais c’était le plus grand secret de mon enfance car la réalité ne jouait pas du tout en ma faveur. J’étais le jeune garçon qui répondait toujours qu’il voudrait être docteur parce qu’il il avait peur qu’on se moque de lui si il disait footballeur.
Durant toute mon enfance et ma jeunesse sportive , j’ai toujours évolué dans les plus bas niveau des catégories de mon âge. J’étais plus à l’aise à jouer contre des adversaires moins forts. Ceux qui étaient plus ou moins de mon niveau ou plus fort … m’intimidaient et je perdais complètement mes moyens en jouant avec eux ( une drôle d’impression de jouer et m’enfoncer sur du sable alors qu’on était sur des terrains de football 🤷🏾♂️)
Malgré tout ça, à 18 ans, j’ai commencé à réellement rêver de devenir pro, et presque osé le dire de vive voix même si j’évoluais dans des niveau assez moyen ( départementale ) . Mais en réalité même si j’avais pu jouer dans de meilleures niveau , le problème, c’est qu’à cet âge là , le rêve de devenir pro semblait déjà hors de portée. Personne ne m’avait jamais remarqué, et je devais admettre que j’avais des lacunes tactiques et techniques à combler.
Pourtant, naïvement, j’ai décidé de croire en ce rêve,. J’ai travaillé dur, m’entraînant seul pour corriger les lacunes que je pouvais apercevoir en moi-même. À 22 ans, j’avais fait des progrès, mais c’était juste insuffisant . Après le match le plus catastrophique individuellement que j’ai pu faire dans ma vie , j’ai voulu abandonner définitivement le football pour me concentrer sur mes études, que j’avais négligées.
Ma mère , toujours pleine de sagesse, et visiblement bien plus lucide que moi , m’a poussé à être réaliste. Elle me répétait sans cesse que j’étais en train de perdre mon temps , que l’investissement que je mettais dans le football il serait temps que je le remette intégralement dans les études car, il devenait évident selon elle, que le foot n’était à priori pas fait pour moi.
Mais bon… à 22 ans, quand on a une maman très gentille et extrêmement patiente, on aime à continuer de rêver même si tous les feux sont au rouge 😁.
Le lendemain du jour où j’ai voulu tout arrêter, j’ai eu un sursaut d’orgueil en me disant que j’arrêterai à la fin de la saison de football mais que pour les 3 mois restant j’allais me faire plaisir en faisant exclusivement que de dribbler ,car à l’origine j’avais aimé la pratique du football exclusivement pour le dribble.
Pour m’inspirer , il se trouve que je m’étais mis à regarder pendant des heures et des heures, tout plein de vidéo de dribbleur et un jour j’ai découvert un détail qui a tout changé. Ce détail-là m’a conduit, de fil en aiguille, à une science cachée du football, et du sport de manière générale, celle de jouer avec les Limites Physiques et Morphologiques de l’Être humain.
J’ai mis cette science en pratique, m’entraînant tous les jours pendant deux mois. Trois mois après ma découverte, j’ai accompli l’impossible. J’ai fait du football mon métier, passant du niveau régional 3 au niveau professionnel, en ligue 2. C’était un écart de six niveaux.
J’ai vécu plus de dix ans de football, bien au-delà de ce que quiconque aurait pu imaginer. Même ma propre famille ne s’y attendait pas. J’ai connu rapidement deux blessures graves qui ont freiné mon ascension, mais je ne regrette rien. J’ai touché mon rêve d’enfant et j’en ai profité au maximum.
Et même si ça n’avait pas été le cas, si je n’avais pas été professionnel, juste le fait de devenir le meilleur joueur de mon entourage … le meilleur joueur ma sphère football … le meilleur joueur de mon monde , ça aurait suffit pour que cette découverte me rende heureux et satisfait de mon niveau … Car en réalité, en découvrant cette science à mes 22-23 ans , je ne m’attendais pas du tout à ce que celle-ci soit un art qui allait m’emmener vers les sommets … je n’avais pas conscience du potentiel que cette découverte pouvait apporter, que ce soit à moi ou à tout passionné qui aurait pu y avoir accès.
Aujourd’hui, l’heure est venu pour moi de dévoiler et transmettre cette science qui a changé ma vie, d’autant plus qu’elle a récemment été suivie par la découverte d’une seconde science qui l’a complète totalement. Je veux mettre ces deux arts au service de passionnés de football qui cherchent ce déclic, ce petit quelque chose qui les empêche d’éclore. Tout passionné mérite de découvrir la clé lui permettant de libérer le potentiel inexploité qui sommeil en lui, et enfin totalement briller dans son sport comme jamais auparavant.
C’est l’histoire d’un passionné de football comme beaucoup d’entre vous…
Mon rêve était simple : Passer à la télé en jouant au football … Devenir professionnel. Mais c’était le plus grand secret de mon enfance car la réalité ne jouait pas du tout en ma faveur. J’étais le jeune garçon qui répondait toujours qu’il voudrait être docteur parce qu’il il avait peur qu’on se moque de lui si il disait footballeur.
Comment était ton niveau de football durant ton enfance ?
Durant toute mon enfance et ma jeunesse sportive, j’ai toujours évolué dans les plus bas niveau des catégories de mon âge. J’étais plus à l’aise à jouer contre des adversaires moins forts.
Ceux qui étaient plus ou moins de mon niveau ou plus fort m’intimidaient et je perdais complètement mes moyens en jouant avec eux (une drôle d’impression de jouer et m’enfoncer sur du sable alors qu’on était sur des terrains de football)
Comment as-tu réagi face à ces difficultés ?
Malgré tout ça, à 18 ans, j’ai commencé à réellement rêver de devenir pro, et presque osé le dire de vive voix même si j’évoluais dans des niveau assez moyen (départementale).
Pourtant, naïvement, j’ai décidé de croire en ce rêve. J’ai travaillé dur, m’entraînant seul pour corriger les lacunes que je pouvais apercevoir en moi-même. À 22 ans, j’avais fait des progrès, mais c’était juste insuffisant.
Après le match le plus catastrophique individuellement que j’ai pu faire dans ma vie, j’ai voulu abandonner définitivement le football pour me concentrer sur mes études, que j’avais négligées.
Ta famille t’a-t-elle soutenu dans ces moments de doute ?
Ma mère, toujours pleine de sagesse, et visiblement bien plus lucide que moi, m’a poussé à être réaliste. Elle me répétait sans cesse que j’étais en train de perdre mon temps , que l’investissement que je mettais dans le football il serait temps que je le remette intégralement dans les études car, il devenait évident selon elle, que le foot n’était à priori pas fait pour moi.
Mais bon…à 22 ans, quand on a une maman très gentille et extrêmement patiente, on aime à continuer de rêver même si tous les feux sont au rouge.
As-tu finalement arrêté le football à ce moment-là ?
Le lendemain de ma décision d’abandonner, j’ai eu un sursaut d’orgueil. Je me suis dit que j’arrêterais à la fin de la saison, mais pour les trois derniers mois, je jouerais uniquement pour le plaisir, en me concentrant sur les dribbles, car c’est ce qui m’avait attiré dans le football à l’origine.
Comment as-tu découvert cette “science cachée” qui a changé ta vie ?
Pour m’inspirer , il se trouve que je m’étais mis à regarder pendant des heures et des heures, tout plein de vidéo de dribbleur et un jour j’ai découvert un détail qui a tout changé. Ce détail-là m’a conduit, de fil en aiguille, à une science cachée du football, et du sport de manière générale, celle de jouer avec les Limites Physiques et Morphologiques de l’Être humain.
J’ai mis cette science en pratique, m’entraînant tous les jours pendant deux mois. Trois mois après ma découverte, j’ai accompli l’impossible. J’ai fait du football mon métier, passant du niveau régional 3 au niveau professionnel, en ligue 2. C’était un écart de six niveaux.
Combien de temps as-tu pu évoluer dans le football professionnel ?
J’ai vécu plus de dix ans de football, bien au-delà de ce que quiconque aurait pu imaginer. Même ma propre famille ne s’y attendait pas. J’ai connu rapidement deux blessures graves qui ont freiné mon ascension, mais je ne regrette rien. J’ai touché mon rêve d’enfant et j’en ai profité au maximum.
Et même si ça n’avait pas été le cas, si je n’avais pas été professionnel, juste le fait de devenir le meilleur joueur de mon entourage … le meilleur joueur ma sphère football … le meilleur joueur de mon monde , ça aurait suffit pour que cette découverte me rende heureux et satisfait de mon niveau. Car en réalité, en découvrant cette science à mes 22-23 ans , je ne m’attendais pas du tout à ce que celle-ci soit un art qui allait m’emmener vers les sommets, je n’avais pas conscience du potentiel que cette découverte pouvait apporter, que ce soit à moi ou à tout passionné qui aurait pu y avoir accès.
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TON AVENTURE
Aujourd’hui, l’heure est venu pour moi de dévoiler et transmettre cette science qui a changé ma vie, d’autant plus qu’elle a récemment été suivie par la découverte d’une seconde science qui l’a complète totalement. Je veux mettre ces deux arts au service de passionnés de football qui cherchent ce déclic, ce petit quelque chose qui les empêche d’éclore. Tout passionné mérite de découvrir la clé lui permettant de libérer le potentiel inexploité qui sommeil en lui, et enfin totalement briller dans son sport comme jamais auparavant.